L’économie du bonheur a mis en lumière comment les situations économiques individuelles et l’environnement macroéconomique (croissance, chômage, inégalités…) influençaient le bonheur des individus. Les gouvernements peuvent-ils utiliser ces résultats pour construire une politique économique d’un nouveau genre ? Faudrait-il les laisser faire ?
Par Mickaël Mangot :
- Diplômé de l’ESSEC
- Master en Economie Appliquée de Sciences-Po Paris
- Doctorat d’économie
- Directeur Général de l’Institut de l’Economie du Bonheur
- Enseignant à l’ESSEC et l’AgroParisTech
- Spécialiste de la finance comportementale et l’économie du bonheur
- Auteur de plusieurs ouvrages dont Heureux comme Crésus ? Leçons inattendues d’économie du bonheur (éditions Eyrolles)
